Réactions politiques à la victoire du non au référendum grec du dimanche 5 juillet, un jour historique :
François Fillon (Les Républicains) (un ancien parti dont l'étiquette a été changé à cause des affaires avec la justice) :
"C’est à la France et à l’Allemagne de prendre les initiatives nécessaires pour assurer l’unité et la cohérence de la zone euro."
Ah bon ? L'europe c'est 2 pays ?
Nouveau parti anticapitaliste (NPA): «Le NPA salue la volonté du peuple grec d'en finir avec l'austérité permanente, qui ne sert qu'à remplir les coffres forts des banques et de la finance mondiale. (...)
Ah ça c'est sur !
Pour le NPA ce vote met à l'ordre du jour la mise en œuvre d'une politique anticapitaliste par l’annulation de la dette
Sans déconner ?! Ah ça ce serait bien ! Le premier truc à faire d'une vraie démocratie !
Marine Le Pen, présidente du FN: «C'est un Non de liberté, de rébellion face aux diktats européens qui veulent imposer la monnaie unique à tout prix, via l'austérité la plus inhumaine et la plus contre-productive. C'est un Non de liberté face à la propagande abjecte. Ce Non est donc une excellente nouvelle, qui montre que les peuples n'entendent pas se faire piétiner sans réagir par les tenants fanatiques de l'Union Européenne. C'est aussi l'espérance pour le contribuable français de ne plus avoir à sortir une nouvelle fois le chéquier pour verser quelques milliards supplémentaires dans le trou sans fond de la dette grecque et de l'euro».
Heu bah, pas faux
Claude Bartolone, président PS de l'Assemblée nationale
Si l'Europe s'entête dans ses dérives, les effets récessifs des politiques d'austérité continueront à produire le ressentiment populaire au sein de nombreux pays.
Ah ouais ? Comme en France ? Et...vous avez peur ?
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France
Un plan B existe. François Hollande n’a aucun mandat des Français pour continuer à gâcher nos impôts dans des plans incapables de redresser la Grèce». (communiqué)
Interessant, mais je crois que c'est pas son but...
Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche: «La réponse du peuple grec aux négociations européennes sur la crise de leur dette nationale doit être entendue et impose la réouverture d'une nouvelle négociation équilibrée. Si le devenir de l'Union européenne passe par la prise en compte de la volonté des peuples...
Pardon ?? "la volonté des peuples" ?? Hé ho, on est pas en démocraties
Jean-Luc Mélenchon, ancien candidat du Front de gauche à la présidentielle: «C'est la victoire d'une méthode et l'échec d'un projet sournois et calamiteux. La crise a été provoquée de manière absolument délibérée par l'Eurogroupe. (...) Il y a une tentative de putsch contre (Alexis) Tsipras, c'est un coup d'état financier et j'assume mon propos. (...) Le jeu est fini, vous avez perdu, cette fois-ci c'est le non. (...) Maintenant il faut parler sérieusement du fait que les dettes souveraines en Europe ne sont pas remboursables, il faut une conférence européenne des dette souveraines».
Bien !
On est d'accord ! Parlons de ces dettes impossibles de la finance ! Qui imprime des valeurs sur du papier et qu'on doit trimer pour rembourser ! Et qui en plus n'ont aucune valeur s'il n'y a pas d'or en conséquences dans ces banques, notament en France ou sarkozy de nagy bosca s'est permis de vendre sans l'avis du peuple, une partie de notre or ...
Ce vote non du peuple Grec est une bonne chose
Occis les politiques de merde
En même temps, ils avaient des arguments
François Fillon (Les Républicains) (un ancien parti dont l'étiquette a été changé à cause des affaires avec la justice) :
"C’est à la France et à l’Allemagne de prendre les initiatives nécessaires pour assurer l’unité et la cohérence de la zone euro."
Ah bon ? L'europe c'est 2 pays ?
Nouveau parti anticapitaliste (NPA): «Le NPA salue la volonté du peuple grec d'en finir avec l'austérité permanente, qui ne sert qu'à remplir les coffres forts des banques et de la finance mondiale. (...)
Ah ça c'est sur !
Pour le NPA ce vote met à l'ordre du jour la mise en œuvre d'une politique anticapitaliste par l’annulation de la dette
Sans déconner ?! Ah ça ce serait bien ! Le premier truc à faire d'une vraie démocratie !
Marine Le Pen, présidente du FN: «C'est un Non de liberté, de rébellion face aux diktats européens qui veulent imposer la monnaie unique à tout prix, via l'austérité la plus inhumaine et la plus contre-productive. C'est un Non de liberté face à la propagande abjecte. Ce Non est donc une excellente nouvelle, qui montre que les peuples n'entendent pas se faire piétiner sans réagir par les tenants fanatiques de l'Union Européenne. C'est aussi l'espérance pour le contribuable français de ne plus avoir à sortir une nouvelle fois le chéquier pour verser quelques milliards supplémentaires dans le trou sans fond de la dette grecque et de l'euro».
Heu bah, pas faux
Claude Bartolone, président PS de l'Assemblée nationale
Si l'Europe s'entête dans ses dérives, les effets récessifs des politiques d'austérité continueront à produire le ressentiment populaire au sein de nombreux pays.
Ah ouais ? Comme en France ? Et...vous avez peur ?
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France
Un plan B existe. François Hollande n’a aucun mandat des Français pour continuer à gâcher nos impôts dans des plans incapables de redresser la Grèce». (communiqué)
Interessant, mais je crois que c'est pas son but...
Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche: «La réponse du peuple grec aux négociations européennes sur la crise de leur dette nationale doit être entendue et impose la réouverture d'une nouvelle négociation équilibrée. Si le devenir de l'Union européenne passe par la prise en compte de la volonté des peuples...
Pardon ?? "la volonté des peuples" ?? Hé ho, on est pas en démocraties
Jean-Luc Mélenchon, ancien candidat du Front de gauche à la présidentielle: «C'est la victoire d'une méthode et l'échec d'un projet sournois et calamiteux. La crise a été provoquée de manière absolument délibérée par l'Eurogroupe. (...) Il y a une tentative de putsch contre (Alexis) Tsipras, c'est un coup d'état financier et j'assume mon propos. (...) Le jeu est fini, vous avez perdu, cette fois-ci c'est le non. (...) Maintenant il faut parler sérieusement du fait que les dettes souveraines en Europe ne sont pas remboursables, il faut une conférence européenne des dette souveraines».
Bien !
On est d'accord ! Parlons de ces dettes impossibles de la finance ! Qui imprime des valeurs sur du papier et qu'on doit trimer pour rembourser ! Et qui en plus n'ont aucune valeur s'il n'y a pas d'or en conséquences dans ces banques, notament en France ou sarkozy de nagy bosca s'est permis de vendre sans l'avis du peuple, une partie de notre or ...
Ce vote non du peuple Grec est une bonne chose
Occis les politiques de merde
En même temps, ils avaient des arguments